sábado, 15 de junio de 2013

15 juin 1906 : naissance de Léon Degrelle

15 juin 1906 : naissance de Léon Degrelle


    Je regarde, par delà les ombres, les foules qui peuplent mon souvenir. Je leur demande, avec un regard tenace : « ce don, il est bien total ? Il est pur, sans mélange, sans fadeur ? Pour vous, il n’y a vraiment qu’une chose qui compte ? Avec vous, on peut aller jusqu’au bout ? Il n’y aura pas de lassitude, ni retours, ni regrets ?… »

    Et j’entends du bout de la nuit ces foules dressées qui crient leur volonté et leur confiance… Je vois ces milliers d’hommes et de femmes qui renouvellent leur serment.

    Comment n’être pas sûr, alors, de la fécondité de cet héroïsme ?

    Ce sont ces âmes-là qui changent le monde.

                                                                        Léon

 

martes, 11 de junio de 2013

"Rencontres avec Saint-Loup"

J'ai reçu ces "Rencontres avec Saint-Loup" pour un prix tout à fait correct. Bel ouvrage, qui semble passionnant et que je cherchais depuis quelques temps déjà
. Merci à Philippe qui a eu la gentillesse de me prévenir.
Rencontres.Document numérisé

Pour l'occasion, ces dernières lignes d'"Une moto pour Barbara", qui contiennent l'espoir dont on a besoin aujourd'hui :
"A l'aube du septième jour depuis son départ du col, il lui sembla distinguer au ras de la glace une ligne sombre, comme si se révélait l'océan Arctique où montait vers elle un nouveau blizzard. Avec des gestes de rêve, elle sortit les jumelles d'une sacoche et en régla l'optique. Elle reconnut dans cette ligne sombre une forêt. Dominant la forêt apparaissait un arbre de dimensions gigantesques. Elle pensa qu'il s'agissait d'Yggdrasill, l'arbre du monde, dont l'oncle Janus lui avait parlé et sous lequel il devait la conduire un jour, pour l'abandonner au bras du Chevalier Blanc, afin qu'elle assume, avec lui, son éternité selon la race. C'était un chêne-mutant qui, d'après la place occupée par lui dans les oculaires de ses jumelles, devait avoir déjà plusieurs centaines de mètres d'altitude et couvrir de ses ramures une dizaine d'hectares au moins. Barbara comprit qu'elle se trouvait en vue de Nouvelle Thulé, point de l'univers qui se trouvait en même temps au COMMENCEMENT et à la FIN, vivant avec mille ans d'avance sur le reste de l'humanité, l'Age d'Or où, de nouveau, les hommes, les bêtes et les arbres s'aimaient. Alors, elle pleura et se réjouit."
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viernes, 7 de junio de 2013

El arte de la guerra en el Mundo Antiguo: la falange macedonia.-




<Autores clásicos como Diodoro utilizaron el término «falange» para hacer referencia a lainfantería pesada macedonia, creada por Filipo II, padre de Alejandro Magno. Compuesta por4 batallones (taxei) de 1.000 hombres (pezhetairoi), dirigidos por un taxiarca, la falange se convirtió en uno de los cuerpos de combate más característicos de la Edad Antigua.
Tetradracma de Filipo II
Tetradracma de Filipo II
Para el reclutamiento de su tropa, Filipo II fragmentó su reino en diez demarcaciones militares en las que impuso la obligatoriedad del servicio militar. Cada soldado era instruido en su lugar de origen, incorporándose posteriormente al ejército. No había una edad mínima ni máxima para formar parte de lamilicia, siendo también indefinido el tiempo durante el cual se prestaba servicio. Tomando como referencia la batalla de Queronea (338 a.C.), el ejército macedonio llegó a reunir en esta fecha un total de 24.000 infantes y 3.000 jinetes.
Filipo II fue, por tanto, el gran renovador del ejército macedonio. Hizo de la infantería el eje motor del mismo, unmuro de contención frente a los ataques enemigos. Asimismo, consiguió una perfecta coordinación entre ésta y la caballería, orientada a la embestida de losflancos del adversario. Su objetivo principal era rodear la fuerza del contrario, hostigarledesde la retaguardia y empujarle hacia la infantería, implacable en el combate cuerpo a cuerpo.
Los infantes que integraban la falange portaban casco, coraza anatómica, espada, grebas y escudo típicos de la infantería pesada macedonia además de una lanza corta (sarissa). Entre los mejores pezhetairoi, se elegía a los hipaspistas, un cuerpo de élite cuya fundación se atribuye al propio Filipo II. Armados con escudo y jabalina, como los tradicionales hoplitas griegos, eran seleccionados para operaciones especiales, siempre al servicio del monarca. Dentro de este grupo, se escogía a los siete somatophylakes, encargados de la custodia personal del rey.

Macedonian Phalanx
Falange macedonia en orden de combate
Forjar un imperio no era tarea fácil y para obtener soldados aptos de cara a tan magna empresa, se diseñó un sistema de entrenamiento específico con diferentes ejercicios y, como relata Polienolargas marchas cargando con el equipo de guerra (material médico, utensilios de cocina y herramientas para la construcción de campamentos, puentes o máquinas de asedio), que en aquellos momentos podía alcanzar los 50 Kg. de peso. De este modo, se consiguió un ejército fuerte, resistente, aguerrido y, sobre todo, de extraordinaria movilidad. En este sentido, Filipo II prohibió a las esposas de los soldados y a las prostitutas ir en campaña junto a la tropa, limitando igualmente el uso de carros y carretas. No aptos para cierto tipo de terrenos, por ejemplo montañosos, quedaron reservados de manera exclusiva para el traslado de los heridos o de la maquinaria de asedio. Otro factor a tener en cuenta fue la sustitución de bueyes y mulas de carga por caballos.
Al margen de la falange y la caballería, el ejército macedonio estaba integrado por una serie deunidades especializadas. Dentro de las mismas, sería importante citar a los honderos rodios, capaces de lanzar sus proyectiles a más de 300 m. de distancia, a los arqueros agrianos o cretenses, que hostigaban al enemigo desde los flancos de la infantería pesada, o a losartilleros tracios, dotados de avanzadísimos conocimientos en poliorcética. Todos estos efectivos hicieron del ejército macedonio de Filipo II una de las grandes fuerzas militares de la Antigüedad, contribuyendo a forjar un vasto imperio más tarde heredado y ampliado porAlejandro Magno.-


                            AL PIE DEL TEIDE EN TENERIFE CON MI ANNY!!!

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ROBERT BRASILLACH, SIEMPRE PRESENTE !!!!!

Feu_de_veillee








  • Le fascisme, il y a bien longtemps que nous avons pensé que c'était une poésie, et la poésie même du XXe siècle (...). Je me dis que cela ne peut pas mourir. Les petits enfants qui seront des garçons de vingt ans, plus tard, apprendront avec un sombre émerveillement l'existence de cette exaltation de millions d'hommes, les camps de jeunesse, la gloire du passé, les défilés, les cathédrales de lumière, les héros frappés au combat, l'amitié entre jeunesses de toutes les nations réveillées, José Antonio, le fascisme immense et rouge (...)
Je veux donc être franc avec le fascisme, dire ce que nous ne savions peut-être pas avant la guerre, parler de cette nostalgie de la liberté que le tête-à-tête avec lui nous a donnée. Mais il n'en reste pas moins que sa poésie extraordinaire est proche de nous, et qu'il demeure la vérité la plus exaltante du XXe siècle, celle qui lui aura donné sa couleur. Ce que nous lui reprochons par souci de la vérité, vient tantôt d'insuffisances nationales, tantôt d'erreurs passagères, tantôt de conditions de vie difficiles, tantôt de la guerre elle même (et dans ce cas les démocraties ont commis les même erreurs, si erreurs il y a). mais sa chaleur, sa grandeur, son feu merveilleux, c'est ce qui lui appartient. Un camp de jeunesse dans la nuit, l'impression de faire corps avec sa nation tout entière, l'inscription à la suite des héros et des saints du passé, une fête totalitaire, ce sont là des éléments de la poésie fasciste, c'est ce qui aura fait la folie et la sagesse de notre âge, c'est, j'en suis sûr, ce que la jeunesse, dans vingt ans, oublieuse des tares et des erreurs, regardera avec une sombre envie et une nostalgie inguérissable. »
Robert Brasillach. Lettre à un soldat de la classe 60.